jeudi 29 mai 2014

Lonely Planet, Rome en quelques jours - Collectif


Je continue dans ma lancée de chroniques sur les guides de voyage et je présente cette fois-ci une édition réduite du Lonely Planet : Rome en quelques jours.
J'ai découvert la franchise Lonely Planet l'année dernière lorsque je suis partie à New York, jusqu'à présent je ne m'étais pas tournée vers ce guide car je le trouvais un peu cher et, par erreur, comme moins pratique que le Routard.
A y regarder de plus près, le Lonely Planet a moins de défauts que le Routard, voire il n'en a quasiment pas.
Il a une petite taille, ce qui permet de le mettre sans problème dans un petit sac voire même une poche de manteau, son plan papier détachable est de bonne qualité et résiste aux épreuves (pluie, vent, j'ai testé tout ça à Rome et le plan a survécu), il propose des bons plans, de bons restaurants ou lieux pour déguster des douceurs, il comporte des photos et quelques itinéraires de promenades.
Il est par contre pour ce format poche moins détaillé que le Routard en ce qui concerne les musées et leurs contenus, d'où le fait que je me promenais avec ces deux guides en permanence.
Il est aussi plus concis en matière historique et grands personnages, d'où l'importance d'avoir deux guides, mais il présente des atouts incontestables : au contraire du Routard il propose un programme sur quatre jours et non trois, ainsi que des programmes détaillés pour chaque quartier de Rome.
A noter qu'il est aussi plus clair dans le découpage des quartiers que le Routard.
Et surtout, il propose des itinéraires de découverte, chose que j'avais pu apprécier à New York et pareillement à Rome.
Il sort un peu plus des sentiers battus et propose un éventail plus large de choix en boutiques, restaurants, bars, cafés, boulangeries et que sais-je encore.
Il précise peu les horaires d'ouverture et de fermeture des musées mais il est plus cohérent et compréhensible dans sa construction, et de meilleure qualité en impression papier que le Routard, il a donc tendance à moins s'abîmer en étant trimbalé à droite et à gauche.
Je le trouve mieux bâti que Le Routard et plus convivial, avec un choix de couleur pour chaque quartier, ce qui permet d'y trouver plus facilement ce que l'on cherche.
Mais je reconnais que cette édition de poche doit s'accompagner d'un autre guide car elle serait sinon trop succincte pour bien profiter des charmes de Rome.

Le Lonely Planet est en passe de détrôner dans mon cœur le Routard, pour tout dire c'est même fait, mais je reproche encore aux grandes éditions d'être un peu chères, me faisant me rabattre sur la version courte qui présente de nombreux atouts mais également quelques petits inconvénients.
Pour Rome c'est avec bonheur que j'ai promené ce petit guide dans ma poche, et il a fait un très bon complément au Routard, un compagnon de voyage agréable pour résumer !

4 commentaires:

  1. Pour notre voyage en Ecosse, nous allons combiner le Routard et le Lonely Planet. Je n'ai pour l'instant jamais été déçue par le Routard, mais je pense que 2 guides pour un tel périple ne seront pas de trop, l'un complétant l'autre comme tu le soulignes très justement.

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    1. Oui 2 guides valent mieux qu'un, ils sont bien complémentaires.

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  2. J'avais le Lonely Planet standard pour Rome, qui nous a très bien convenu, avec un plan Michelin pour avoir le plan de la ville. Mais la ville est très étendues et c'est vrai que ce n'est pas facile de s'y retrouver.
    J'avoue être une adepte des cartes et des plans, et en voyage, quand on a mal au dos ou aux pieds, je décrète un arrêt "point guide" : lire les trucs historiques permet aussi de reprendre des forces !

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    1. Ah le fameux arrêt "point guide" ! Je crois qu'on le fait tous ! J'avais aussi des plans plus détaillés pour les découvertes de quartier, faits à partir de Google maps ou du guide Lonely Planet avec Alix.

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