vendredi 30 décembre 2016

Preview ciné 2017 - Clap 3


Ce troisième article sera consacré aux films étrangers pour lesquels je trépigne d’impatience ainsi que pour les biopic qui m’ont tapé dans l’œil.

Il y a trois films pour lesquels je trépigne littéralement d’impatience.

Le premier c’est "Live by night" de Ben Affleck.
Ben (hi !), c’est celui qui a dernièrement fait "Argo", et c’était plutôt très réussi.
De quoi se pâmer rien qu’à l’idée qu’il soit repassé derrière (mais aussi – surtout je vous laisse choisir – devant) la caméra.
Et quand j’ai lu que ce film était tiré d’un roman de Dennis Lehane j’ai frisé la syncope.
Donc je répète : Ben Affleck devant et derrière la caméra, Dennis Lehane à l’origine de l’histoire.
Deux arguments de poids pour aller voir ce film.
Sinon pour l’histoire, cela se passe dans les années 20 à Chicago pendant la prohibition. Joe Coughlin (Benichou) est le fils du chef de la police mais il a choisi d’être un criminel et cherche à s’imposer au sein de la mafia de la Tampa.
Bref, l’histoire a l’air d’être top également.
Et ce (sûrement) petit bijou sort (je vous le donne en mille) : le 18 janvier !

     
     

Autre film pour lequel j’ai failli pleurer quand j’ai vu qu’il ne sortait pas sur les écrans : "Loving" de Jeff Nichols.
A mon avis, nous allons tous pouvoir aller pleurer – et s’aimer – en salle le 18 janvier, non je plaisante, le 15 février (là je ne plaisante plus).
Ce film est tiré d’une histoire vraie, je l’ai repéré depuis son passage au Festival de Cannes duquel il est reparti bredouille (moi pas trop comprendre).
Mildred et Richard Loving s’aiment et se marient.
Rien de plus naturel.
Sauf qu’il est blanc et qu’elle est noire, et qu’ils vivent dans l’Amérique ségrégationniste de 1958.
L’Etat de Virginie va vouloir casser leur mariage, les Loving vont se battre jusqu’à faire reconnaître le droit pour tous de s’aimer, quelque soit leur origine.
Depuis que j’ai découvert Jeff Nichols je ne tarie pas d’éloge à son sujet, j’attends donc avec impatience la sortie de ce film très différent de son précédent, "Midnight Special" (dont je vous reparlerai plus tard dans le bilan 2016).

     
     

Un film s’annonce comme un événement, même pas sorti et déjà encensé par la critique (je vous promets, même le programme de mon cinéma l’a déjà désigné comme le film du mois prochain, une première), je parle bien entendu de "La La Land" de Damien Chazelle.
Ce film suit le parcours de Mia, actrice en devenir et serveuse pour le moment, et de Sebastian, passionné de jazz jouant dans des clubs miteux pour gagner sa pitance.
Ce sont deux rêveurs mais qui sont bien loin de leur vie rêvée, leur rencontre va-t-elle résister à la vie à Hollywood ?
Ce film a éveillé ma curiosité et je compte bien aller le voir lors de sa sortie.

     
     

Deux autres films ont également éveillé mon intérêt.

Tout d’abord "Dunkerque" de Christopher Nolan.
Pourquoi ?
Parce que Christopher Nolan, mais aussi parce que le réalisateur change complètement de genre en proposant un film historique racontant l’évacuation des troupes alliées de Dunkerque en mai 1940.
Je suis curieuse de voir ce que donne ce film tourné en France, et avouons-le, de vérifier si le réalisateur ne s’est pas totalement planté dans cette histoire et dans son changement de style.

     
     

L’autre film est "American Honey" d’Andrea Arnold, présenté à Cannes et ayant obtenu le Prix du Jury.
Le pitch : Star, une adolescente, quitte sa famille dysfonctionnelle et rejoint une équipe de vente d’abonnements de magazines parcourant le Midwest en faisant du porte à porte.
J’aime assez ce genre de cinéma Américain, présentant des personnages en marge de la société, en principe le résultat n’est pas décevant.

 
     
     

Du côté des biopic, j’en ai relevé trois qui pourraient être intéressants.

Le premier est consacré à l’une des "first lady" qui a le plus marqué l’histoire : Jackie Kennedy.
La réalisation est signée Pablo Lorrain et le rôle-titre est tenu par Natalie Portman.
Le film, "Jackie", se focalisera sur sa période de deuil.

     
     

Le second racontera le parcours de Nat Turner, esclave afro-américain né en 1800 et pendu en 1831. Homme cultivé et prédicateur très écouté, il va conduire une révolte particulièrement sanglante en août 1831.
Il s’agira du premier long métrage du comédien Nate Parker baptisé "The birth of a Nation".

     
     

Le troisième est consacré à trois scientifiques afro-américaines qui ont aidé les Etats-Unis à prendre la tête de la conquête spatiale grâce à la mise en orbite de l’astronaute John Glenn.
Longtemps tenues dans l’ombre, ces trois femmes vont enfin connaître la lumière grâce au film "Les figures de l’ombre" de Theodore Melfi.

     
     

Voilà, me semble-t-il, de quoi passer un bon moment de cinéma avec ces quelques films dont j'attends certains avec grande impatience. 

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